Surefficience mentale : 3 stratégies pour canaliser ton mental

Toi aus­si tu pens­es trop ? Alors on est deux.
Penser trop, tout le temps, c’est l’un des rav­ages de la sur­ef­fi­cience men­tale.

Ton men­tal qui ne s’ar­rête pas, c’est comme un singe qui se débat…

Et quand tu es surefficient·e, ce singe, c’est King Kong.

Com­ment vrai­ment canalis­er ton men­tal envahissant ? C’est ce qu’on va voir avec les 3 straté­gies de cet arti­cle.

Alors accroche toi, parce que ça va décoif­fer.



Qu’est ce que la surefficience mentale ? Définition

Christel Petitcollin a popularisé le terme dans son livre Je pense trop

La sur­ef­fi­cience men­tale est une surac­ti­va­tion du men­tal à cause d’un cerveau qui fonc­tionne con­stam­ment et à toute vitesse. 

C’est la même chose que la douance. On en par­le plus bas.

Une per­son­ne sur­douée ou sur­ef­fi­ciente aura des apti­tudes intel­lectuelles élevées dans plusieurs domaines, mais ça ne veut pas dire qu’elle sera plus intel­li­gente. Elle aura une intel­li­gence dif­férente de la majorité.

C’est à la fois une façon dif­férente d’être intel­li­gent, et un fonc­tion­nement affec­tif atyp­ique, avec une grande sen­si­bil­ité.

Son intel­li­gence est telle­ment atyp­ique qu’elle peut être un hand­i­cap et la faire souf­frir… Elle induit un grand décalage avec les autres, des dif­fi­cultés à trou­ver sa place et par­fois une grande soli­tude.

Les sur­ef­fi­cients men­taux souf­frent de leur men­tal envahissant. Ils pensent tout le temps et ne peu­vent pas s’en empêch­er. Leur esprit ne leur laisse pas de répit et chaque idée en amène 10 autres, qui en amè­nent 10 autres : 10, 100, 1000…

C’est ce qu’on appelle la pen­sée en arbores­cence.


Pensée en arborescence ou pensée divergente

A) La plu­part des gens utilisent majori­taire­ment la pen­sée con­ver­gente, ou pen­sée linéaire :

A => B => C

C’est-à-dire que chaque idée en amène une autre, qui en amène une autre, une par une :
Ils ont un raison­nement linéaire, étape par étape, facile à exprimer à l’o­ral ou à l’écrit. C’est de celui-ci dont on a besoin pour con­stru­ire le plan d’une argu­men­ta­tion à l’é­cole, par exem­ple.

D’ailleurs le mode linéaire m’au­rait facil­ité la vie pour con­stru­ire le plan de cet arti­cle. Sniff…


B) Pas de bol : comme beau­coup de zèbres, j’u­tilise qua­si unique­ment la pen­sée diver­gente, ou pen­sée arbores­cente :

A => B + C + D => E + F + G + H + I + J + K + L + M => l’U­nivers

Dans ma tête, au lieu d’avoir un plan clair et défi­ni de cet arti­cle, au lieu de penser étape par étape, j’ai une image glob­ale et intu­itive de l’ar­ti­cle. Cette image regroupe cet arti­cle et tous les autres, ain­si que dif­férents témoignages de zèbres, ma pro­pre expéri­ence, les dif­férentes déf­i­ni­tions et les con­tra­dic­tions que je vois entre elles… en un amas de réflex­ions inter-reliées, sans queue ni tête… 

Bien sûr, c’est extrême­ment dif­fi­cile à décrire avec des mots et des phras­es, avec un début et une fin, à l’écrit comme à l’o­ral.
Écrire cette série d’ar­ti­cles sur la douance & com­pag­nie m’a demandé une petite dizaine d’heures pour sim­ple­ment met­tre en ordre mes réflex­ions et leur don­ner une forme cohérente que je pour­rais trans­former en arti­cles.

En cours, quand je devais faire le plan d’une argu­men­ta­tion, c’é­tait un cal­vaire :

  • Sur un exa­m­en de 2h, mes cama­rades fai­saient le plan en 20–30 min­utes et écrivait pen­dant 1h30.
  • Alors que moi, je pas­sais 1h à 1h20 à con­stru­ire mon image men­tale et à la con­ver­tir en une argu­men­ta­tion linéaire… Et les 40 min­utes restantes j’écrivais comme un dératé pour finir à temps !

Quand il est trop inadap­té à l’é­cole, ce type de raison­nement peut met­tre les enfants intel­lectuelle­ment pré­co­ces en échec sco­laire, et ce mal­gré leur pré­coc­ité intel­lectuelle. Être sur­doué n’est pas syn­onyme de réus­site : on peut être “sur-doué” sans être par­ti­c­ulière­ment doué. 

En gran­dis­sant, les enfants à haut poten­tiel per­dent leur avance mais con­ser­vent la par­tic­u­lar­ité qui les rendaient pré­co­ces : ils devi­en­nent des adultes sur­doués, avec leurs pro­pres dif­fi­cultés.


Penser dans le mode arbores­cent, c’est comme si tu étais con­stam­ment en brain­storm­ing pour trou­ver de nou­velles idées, sauf que tu n’as pas de bou­ton On / Off. C’est tou­jours comme ça. Alors quand il faut dormir… je te dis pas la galère !

Dans cet arti­cle, Véronique Meu­nier, une HPI, com­pare très juste­ment son vécu à Wikipé­dia :

Je con­sulte Wikipé­dia pour com­pren­dre un mot ou un événe­ment, comme le krach bour­si­er, et je me retrou­ve dans le fin fond de l’Australie dans les années 60, sans savoir com­ment j’y suis arrivée. Ce sont des hyper­liens sur tout et c’est comme ça dans ma tête égale­ment.

Et d’ailleurs, ce qui est logique pour moi parce qu’il y a un lien direct ou presque dans ma tête ne l’est pas pour mes amis. Ce qui donne lieu à beau­coup d’in­com­préhen­sions.


L’origine de ce chahut mental ? Cerveau droit et déficit d’inhibition latente

  • D’une part, les sur­ef­fi­cients men­taux décrits par Chris­tel Petit­collin utilisent en pri­or­ité leur cerveau droit, c’est à dire leur hémis­phère droit. Cet hémis­phère fonc­tionne par asso­ci­a­tion et en arbores­cence.
  • D’autre part, à cause de leur hyper­sen­si­bil­ité sen­sorielle, ils reçoivent plus d’in­for­ma­tions sen­sorielles qu’ils ne sont capa­bles de gér­er. On dit qu’ils ont un déficit d’in­hi­bi­tion latente, à savoir un déficit dans leur capac­ité à pri­oris­er les infor­ma­tions impor­tantes, et à inhiber le reste.

Le résul­tat ?

Ils pensent tout le temps et dans tous les sens.


Quelle différence entre surefficient mental et haut potentiel, surdoué ou zèbre ?

Pour sim­pli­fi­er, tous ces ter­mes sont syn­onymes et désig­nent le même con­cept. D’ailleurs voici la liste de tous les noms.
Mais le prob­lème c’est que les psy­cho­logues et autres experts n’ar­rivent pas à se met­tre d’ac­cord sur une même déf­i­ni­tion.
Il y a donc quelques nuances :

D’une part, tu peux être sûr que haut poten­tiel intel­lectuel (HPI) = sur­doué. D’autre part, on peut dis­tinguer deux caté­gories de sur­ef­fi­cients men­taux :

  1. Ceux qui ne souf­frent pas de leur fonc­tion­nement. Cela con­cerne en général les HP lam­i­naires. Dans ce cas il n’y a pas for­cé­ment néces­sité de met­tre un mot dessus.
  2. Ceux qui en souf­frent. Cela con­cerne en général les HP com­plex­es. Comme il y a souf­france, il a fal­lu met­tre un mot sur la dif­férence.

Voici une com­para­i­son des pro­fils haut poten­tiel lam­i­naire et haut poten­tiel com­plexe.

C’est ce deux­ième pro­fil de sur­doués que Chris­tel Petit­collin décrit en par­lant des sur­ef­fi­cients, et c’est de celui-ci dont on va par­ler ici. On a aus­si zèbre = sur­ef­fi­cient men­tal.

Selon elle, les zèbres qui souf­frent sont plus dif­fi­cile­ment détec­tés pen­dant les tests de QI car ils ont ten­dance à per­dre leurs moyens (et donc avoir un score en-dessous de 130). Atten­tion, ce n’est pas parce qu’elle le dit que c’est vrai : pour rap­pel, elle n’est pas psy­cho­logue.

Pour sim­pli­fi­er tous ces ter­mes, on utilis­era donc indif­férem­ment les ter­mes sur­ef­fi­cient, zèbre, HPI ou sur­doué. Même si per­son­nelle­ment je préfère les appel­er zèbres car c’est moins con­noté ou pré­ten­tieux.


Quelle différence entre surefficience mentale et hypersensibilité ?

Tous les sur­ef­fi­cients sont hyper­sen­si­bles. Ils ont notam­ment une hyper­esthésie : leur 5 sens sont exac­er­bés, ce qui fait que leur cerveau ne s’ar­rête pas de par­ler.

À l’in­verse, selon la déf­i­ni­tion précé­dente, tous les hyper­sen­si­bles ne sont pas sur­ef­fi­cients. La dif­férence réside dans la vitesse de pen­sée qui est liée au quo­tient intel­lectuel :

  • Une per­son­ne sur­ef­fi­ciente a des con­nex­ions neu­ronales plus rapi­des qu’une per­son­ne hyper­sen­si­ble. Sa sen­si­bil­ité sera donc décu­plée et elle pensera d’au­tant plus.
  • Une per­son­ne hyper­sen­si­ble mais non sur­ef­fi­ciente souf­frira de ses émo­tions encom­brantes, mais pas for­cé­ment d’un men­tal envahissant.

On peut être hyper­sen­si­ble sans avoir un QI supérieur à 130, alors qu’il faut avoir au moins 130 au test WAIS pour être con­sid­éré HPI / sur­ef­fi­cient men­tal. Même si, pour être hon­nête ces fonc­tion­nements évolu­ent sur un spec­tre, il n’y a donc pas de caté­gories nettes. On peut penser beau­coup et en arbores­cence sans pass­er la ligne des 130, et en souf­frir quand même.

En con­clu­sion :

Si tu en souf­fres, tu es légitime. Ta quête pour résoudre ce prob­lème l’est donc aus­si.

Dans ce cas reste avec moi pour décou­vrir les 3 straté­gies que je te pro­pose de tester.


Comment savoir si on est surefficient mental ? Symptômes et caractéristiques

Comme le nom de sur­ef­fi­cience men­tale l’indique, le men­tal fonc­tionne en trop grande quan­tité chez les con­cernés. Si tu pens­es trop et que tu en souf­fres, c’est un signe. Mais pour être valid­er ce fonc­tion­nement, il faut pass­er un bilan psy­chologique avec un·e psy (le WAIS).

Le plus sim­ple sur le court-terme pour te don­ner un gros indice, c’est de répon­dre à ce ques­tion­naire gra­tu­it :


Test de surefficience mentale gratuit

Comment soigner la surefficience mentale ? Y a t’il un traitement ?

La sur­ef­fi­cience n’est pas une mal­adie, ce n’est pas quelque chose que tu soignes. C’est quelque chose que tu apprivois­es et que tu trans­formes en force plutôt que de le train­er comme un boulet.

Mal­heureuse­ment, il n’y a pas de traite­ment, pas de pilule mag­ique pour calmer tes pensées.Il y a des solu­tions bien sûr, mais elles deman­dent du temps et de la pra­tique, d’au­tant plus que ton men­tal, ce n’est pas n’im­porte quel singe : c’est King Kong !

Cer­tains sur­doués essaient par­fois de couper leurs pen­sées pour arrêter de souf­frir. Ça s’ap­pelle l’in­hi­bi­tion intel­lectuelle, et ce n’est pas une bonne idée.

Pas­sons main­tenant aux solu­tions…


Surefficience mentale : 3 solutions pour canaliser ton mental King Kong

Ton men­tal, c’est King Kong. Ça ne sert à rien d’es­say­er de le con­trôler, il se débat­tera d’au­tant plus fort. Tu ne peux pas le con­trôler… mais tu peux trou­ver des straté­gies pour com­pos­er avec.

En plus de ces 3 straté­gies, j’ai rassem­blé dans un pdf les 5 autres con­seils qui m’aident le plus à calmer mes pen­sées.

Tu peux les télécharg­er ici :

Canaliser son mental en 5 conseils

Télécharge les 5 autres con­seils pour
canalis­er ton cerveau infa­tiguable :

où tu décou­vri­ras…

  1. Com­ment canalis­er ton sur­plus d’én­ergie men­tale
  2. Com­ment nour­rir ton cerveau sans le sub­merg­er
  3. Com­ment ranger tes pen­sées et émo­tions
  4. Com­ment repos­er tes sens et calmer ton mal de tête
  5. Com­ment pré­par­er ton cerveau pour mieux t’en­dormir le soir

Ceci étant dit, voici la pre­mière stratégie :

1. Écouter ce que King Kong cherche à te dire

Naomi Watts dans King Kong - surefficience mentale

Tu ne pens­es pas pour rien. Si tu pens­es, c’est que ton cerveay a quelque chose à te dire.
Si tu as une idée impor­tante, elle con­tin­uera de te hanter jusqu’à ce que tu la pos­es quelque part dans un endroit sûr.

A) La pre­mière solu­tion, c’est de not­er TOUT, absol­u­ment TOUT ce qui te passe par la tête. Dans un car­net, sur les notes de ton télé­phone… Peu importe. Quand je dis TOUT, ça con­cerne notam­ment :

  • Tes tâch­es, ce que tu dois faire et ne pas oubli­er
  • Tes idées
  • Tes listes : films à voir, etc
  • Tes notes en tout genre 

Tant que tu ne l’é­couteras pas, ton King Kong con­tin­uera de faire de ta vie un enfer. Écoute le, et il sera doux comme un agneau. Un grand agneau.


B) Mais ce qui est encore mieux, c’est que tu utilis­es le même lan­gage qui lui. Pour ça, rien de mieux que des façons de struc­tures tes notes qui s’adaptent à ton mode arbores­cent :

  1. Per­so, j’u­tilise Work­flowy pour cen­tralis­er toutes mes infos. C’est un logi­ciel de listes infinies imbriquées en arbores­cences. Je note tout dessus. D’ailleurs, j’ai rédigé cet arti­cle et tous les autres sur Work­flowy.
  2. L’al­ter­na­tive plus visuelle, c’est les mind maps, ou cartes heuris­tiques que tu peux faire sur Cog­gle en ligne, ou sur papi­er pour organ­is­er tes pen­sées. Tu mets l’idée prin­ci­pale au cen­tre, et tu tires des ram­i­fi­ca­tions pour pré­cis­er les sous-idées.

Les deux s’adaptent très bien à la pen­sée arbores­cente, tout sim­ple­ment parce que ce sont des arbores­cences.


C) Enfin, et c’est essen­tiel, ton intel­lect essaie de s’ex­primer. Sou­vent, c’est une émo­tion, de la peur, de la tristesse, de la colère. Tant que tu ne l’ex­primeras pas, elle con­tin­uera de te tor­tur­er et revien­dra ampli­fiée, jusqu’à ce qu’elle s’ex­prime, d’une manière ou d’une autre. C’est pour ça que King Kong casse des héli­cop­tères.

Une solu­tion pour ça, c’est de :

  1. Pos­er toutes tes pen­sées et émo­tions à l’écrit, dès que tu en ressens le besoin dans un jour­nal
  2. Chercher à com­pren­dre quels besoins elles expri­ment
  3. Trou­ver et appli­quer des solu­tion con­crètes pour aller mieux

Ça s’ap­pelle le jour­nal­ing et ça sauve des vies tous les jours.

Et avec ça, on King Kong com­mence à se calmer. Mais ça ne suf­fit pas ! Il faut :


2. Apprendre à recentrer ton King Kong hyperactif

Ton King Kong est comme un enfant hyper­ac­t­if. Il se dis­trait au moin­dre héli­cop­tère.

King Kong : Oh, un héli­cop­tère ! (J’ai traduit ses paroles pour des raisons évi­dentes).

Ton cerveau a ten­dance à par­tir telle­ment loin dans ses pen­sées qu’il lui faut quelque chose pour s’an­cr­er dans le présent. En anglais, on appelle ça le ground­ing, pour te ramen­er sur Terre.

A) La pre­mière solu­tion, c’est un entraîne­ment réguli­er : de la médi­ta­tion, sous n’im­porte quelle forme pour appren­dre à recen­tr­er ton esprit dès qu’il se décon­cen­tre. Sim­ple­ment la médi­ta­tion toute seule ça peut être dif­fi­cile de se con­cen­tr­er. En ce moment je fais de la res­pi­ra­tion tous les jours selon la méth­ode Wim Hof, c’est effi­cace.

B) La sec­onde solu­tion, c’est une activ­ité qui t’an­cre dans le présent. Une activ­ité manuelle par exem­ple. Ça peut être :

  • Dessin­er, col­o­ri­er, pein­dre
  • Faire des origamis
  • Bricol­er
  • Marcher dans la nature
  • Faire du sport
  • Voir des amis avec qui tu ne te prends pas la tête
  • Cuisin­er
  • Danser
  • Etc…

King Kong com­mence à se con­cen­tr­er…


3. Canaliser ta pensée arborescente et déplacer des montagnes

Si King Kong est hyper­ac­t­if, ce n’est pas que pour te pour­rir la vie. Promis.

Ah bon ?

C’est parce qu’il a besoin de se dépenser.

En tant que surefficient·e, tu as un besoin gigan­tesque de stim­u­la­tion et de créa­tiv­ité, et ton cerveau a besoin de créer et d’être stim­ulé pour être sat­is­fait. Si tu pens­es autant, c’est parce que d’une cer­taine manière, ton cerveau a besoin de réfléchir autant. Il en a à la fois le besoin et la capac­ité.

Mais tant qu’à faire, autant que ça serve à autre chose que te deman­der à 3h du matin dans ton lit “Est-ce que si on ren­con­trait des extrater­restres assez évolués, ils auraient les mêmes math­é­ma­tiques que nous ?”

Ce n’est pas un hasard si on appelle aus­si les sur­ef­fi­cients des hauts poten­tiels. Parce qu’avec King Kong, si tu diriges son énergie et son atten­tion sur la bonne mon­tagne, tu peux la déplac­er.

Écrire ces arti­cles, réfléchir à ces con­cepts, c’est une façon pour moi de canalis­er mon King Kong. Si ça t’aide à dompter le tien, ça vaut tout le bon­heur du monde. 


Tu en as marre de ces pensées qui ne s’arrêtent plus ?

Canaliser son mental en 5 conseils

Télécharge les 5 autres con­seils pour
canalis­er ton cerveau infa­tiguable :

où tu décou­vri­ras…

  1. Com­ment canalis­er ton sur­plus d’én­ergie men­tale
  2. Com­ment nour­rir ton cerveau sans le sub­merg­er
  3. Com­ment ranger tes pen­sées et émo­tions
  4. Com­ment repos­er tes sens et calmer ton mal de tête
  5. Com­ment pré­par­er ton cerveau pour mieux t’en­dormir le soir


King Kong et Naomi Watts face à l'horizon - article sur la surefficience mentale


Tu peux aus­si regarder cette inter­view de Chris­tel Petit­collin :

Jusqu’à 16m24s, ça com­plète bien l’ar­ti­cle…
E
nsuite c’est à pren­dre avec des pincettes (un peu trop sim­pliste à mon goût)
 

 Tu peux met­tre la vidéo en vitesse x 1.75 (j’ai testé et on com­prend très bien).


Loïc


PS :

1. Mer­ci d’avoir lu mon arti­cle. Celui-ci m’a demandé 8 heures de tra­vail de recherche et de rédac­tion. Tu m’aideras en prenant 3 sec­on­des pour le partager avec ton entourage. 😉

Mer­ci d’a­vance !

2. Rejoins la newslet­ter lue par plus de 1000 per­son­nes et accède à des con­seils et expéri­ences non partagées sur le blog.
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3. Copie ce lien : https://charismaforthepeople.com/surefficience-mentale/ et envoie-le à un ami ambitieux ou curieux.


Mer­ci d’avoir pris ce temps, et à bien­tôt 😉


Sources :


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Loïc

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  • Bon­jour,
    Ce n’est pas tou­jours sim­ple de canalis­er son men­tal lorsque l’on a des cen­taines d’idées à la minute. Déjà à l’é­cole (c’est très loin) je m’en­nuyais car je trou­vais que la maîtresse pas­sait trop de temps à expli­quer un truc que j’avais com­pris. Dans ma tête il y avait tout ce que je pou­vais faire e cette nou­velle infor­ma­tion alors que les autres cher­chaient à com­pren­dre.
    Du coup, j’é­tais tou­jours en décalage.
    Avec l’âge je ne suis pas cer­taine que cela ait changé, sauf la façon de gér­er de flot d’idées.
    Mer­ci pour votre arti­cle.

  • Je serais curieux d’en appren­dre plus sur votre manière de gér­er ces idées, si vous avez des “trucs” qui vous ont aidée.
    Mer­ci pour votre com­men­taire !

  • Bon­jour,
    mer­ci pour votre arti­cle 🙂 ! Une chose que j’aimerai partager : on cite sou­vent Chris­tel Petit­collin, c’est vrai qu’après des décen­nies de silence, ça nous est pré­cieux de ren­con­tr­er des écrits sur ce sujet ! Nous avons besoin d’in­for­ma­tions et de partages pour men­er nos chemins de la manière qui nous con­vient. Ce besoin m’a amenée à lire “Mon enfant pense trop, com­ment l’ac­com­pa­g­n­er dans sa sur­ef­fi­cience”. Je cher­chais des ressources pour le défi qu’est d’ac­com­pa­g­n­er de mon mieux un enfant sur­ef­fi­cient. Bonne sur­prise : ça m’a fait un effet répara­teur par rap­port à ma pro­pre his­toire (enfin des mots, “quelqu’un qui com­prend”, …) ! Par con­tre, j’ai été vrai­ment déçue et même choquée sur cer­tains con­seils don­nés vis-à-vis des enfants, qui sont à l’op­posé du respect et de la bien-trai­tance qu’il est plus que temps de met­tre en œuvre envers les plus jeunes. Du coup, je trou­ve une par­tie de ce livre non-éthique et dan­gereuse, parce qu’elle encour­age et dédouane la vio­lence éduca­tive ordi­naire, dont les dom­mages avérés ont main­tenant étés décrits et sont doc­u­men­tés.

  • Bon­jour et mer­ci pour ton com­men­taire 😉
    Peux-tu don­ner des exem­ples de con­seils de ce livre que tu n’as pas trou­vés éthiques ?

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